Formations aux nouvelles technologies
Recrutement pour des formations :
· Titre Professionnel de niveau IV, Technicien(ne) en Systèmes de Surveillance Intrusion et de Vidéoprotection 15 places, formation 12 mois en temps plein.
· Mention spéciale Technique de Négociation et Achats de 1.5 mois, dès Juillet 2020.
60 contrats d'apprentissage à pourvoir pour la rentrée 2020 en :
* Réseau Informatique
* Electroménager et multimédia (Vendeur(se), Conseiller (re) et Technicien (ne))
* Fibre Optique
Formation métiers du numériques
Un lauréat du CLAP, Cyril, accompagné dans le cadre de sa création d’un studio de conception de jeux vidéo vient de diversifier son activité et propose une formation à destination des jeunes qui aimeraient se former dans la conception de jeu vidéo.
Il s'est associé à la HELHa et à l'UCLouvain, deux écoles présentent sur Mons en Belgique pour mettre en place une formation dédiée au jeu vidéo.
Cette formation est financée en partie par l’Europe et par ses partenaires, les étudiants ont à payer 700€ à l'année.
La formation proposée à ce jour est une formation continue d'un an permettant une mise à niveau dans le développement de jeux vidéo (étudiant ou pros), elle demande beaucoup d'implication des étudiants pour survoler en 1 an l'équivalent de près de 3 ans d'études en France. Il y a deux spécialisation : Game Art (création d'univers, modélisation, texturing, animation, motion capture...etc) et Game Programming (C++, création de gameplay, game design...etc).
Elle est ouverte aux diplômés ou autodidactes, de toutes nationalités.
Rendez-vous sur les pages internet et F.B pour plus d'information.
Emploi / formation.
La maison de l'emploi de Valenciennes vous communique les offres d'emploi sur sa page F.B.
A consulter également la page F.B de la Mission Locale Jeunes du Valenciennois
Formation : métiers du numérique
Tout savoir sur la POP school (extrait article VDN du 20/06/2016)
C’est quoi ? C’est une entreprise sociale de formation au numérique qui fait le pari d’accompagner vers l’emploi des jeunes qui ne sont pas étudiants à proprement parler. Elle forme au métier de développeurs web (ceux qui créent des sites internet et des applications pour nos tablettes et nos mobiles). La formation est gratuite. Elle dure six mois avec un diplôme à la clé. Elle rentre dans un programme d’État qui a commencé en 2015 et qui a pour objectif de donner accès aux métiers du numérique à dix mille jeunes sans emploi.
C’est pour qui ? Pour des jeunes, de 18 à 26 ans, demandeurs d’emploi. Sans exigence de diplôme : on en a ou on n’en a pas. Il y a un dossier à remplir suivi d’un entretien. Cela concerne un public qui va de la troisième (brevet, CAP…) jusqu’au bachot et même au-delà. Si ce n’est déjà fait, il faut avoir au minimum l’envie d’acquérir la culture numérique. La première promotion, de vingt-cinq jeunes, a commencé en novembre 2015. La seconde promotion a démarré le 6 juin.
Ça marche comment ? De 9 h 30 à 17 h 30, tous les jours, trois mois pour apprendre les langages informatiques, trois mois à bosser sur des projets (applications de gestion de tournois de foot, de gestion des fonds européens…), deux mois de stage, pas le temps de souffler. Même si quelqu’un a prétendu que dans la POP school, il y avait autant de canapés (pour réfléchir) que d’ordinateurs… « Ici, c’est pas scolaire, confirme Quentin, il y a des cours mais c’est pour nous donner les clés pour apprendre par nous-mêmes ». Les trois professeurs sont d’ailleurs tous des professionnels, ayant leur entreprise. Pas des enseignants traditionnels.
C’est où ? L’école est installée 17, rue des Archers, tout contre la maison de l’Emploi. Dans six mois elle déménagera et s’installera sur la zone des Rives créatives de l’Escaut (à Anzin, sur les friches des anciennes usines de tubes entre l’Escaut et l’avenue Jean-Jaurès ) tout près de la serre numérique et du futur palais des congrès.
Qui paie ? Principalement l’Europe. Et, en partie, Valenciennes Métropole qui a trouvé les financements européens (700 000 € pour les trois premières promotions d’élèves) et a donné à POP school les moyens de s’installer à Valenciennes. Mais ce genre de formation va exister aussi prochainement à Lens, Saint-Quentin, Saint-Omer, Soissons, Wallers-Arenberg et même au Liban et au Maroc.